Peu avant les vacances j'avais dévoré trois de Luis Sepulveda :
- Journal d'un tueur sentimental qui comportait trois nouvelles, celle-ci, Yacare et Hot Line. Exotique, intéressant, très bien écrit.
- Le neveu d'Amérique - histoire autobiographique (en partie - je ne pourrait pas dire si peu ou beaucoup) sur les pérégrinations à travers l'Amérique du Sud jusqu'à arriver en Espagne au village d'un grand oncle, frère de son grand-père. On passe de la drôlerie (l'épisode des glaces et limonades qui se terminait sur le portail des cathédrales :) ), à la chair de poule (description précise des prisons politiques chilienne) puis au large sourire (l'épisode de la vieille fille à épouser, et, non, il a échappé au mariage)
Puis pendant les vacances j'ai lu une bonen partie des livres commencés lors des autres vacances :
- Résolution de Pierre Mari sur le monde impitoyable du travail dans les grands groupes industriels
- Amours promis d'Emile Clermont - un long roman écrit à la première personne sur un amour destructeur et asymétrique qui entraine la mort et sans trop de remords que sa propre fièvre.
- Arto Pasaalina "Le potager des malfaiteurs ayant échappé à la pendaison" - un roman fantasque et drôle, qui laisse toujours place à la réflexion sur le monde auquel on vit, comme tous les romans de l'auteur finlandais
Puis j'ai lu aussi un paquet des bons et nouveaux livres :
- Philip Roth "Goodbye, Colombus"
- Jorn Riel "Le jour avant le lendemain" sur la vie des esquimaux
- Andrei Makine "La musique d'une vie" - le roman parle d'un des destins brisés par le régime sovietique et assez peu par la guerre auquel l'héro s'engage en prenant l'identité d'un autre
- Alessandro Baricco "Soie"
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